Un Axel dernier cri
Un Axel dernier cri
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Et voilà la dernière d'Axel: il a découvert le potentiel de ses cordes vocales, et en use et en abuse! Ca promet...
Un Axel dernier cri
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Et voilà la dernière d'Axel: il a découvert le potentiel de ses cordes vocales, et en use et en abuse! Ca promet...
Premiers rires...
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Et voilà Axel qui se bidonne avec son papa... On a droit à ca tous les jours maintenant!
Axel et Sushila
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Et voilà Axel et sa Sushila!
Axel dans la jungle - 2
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Encore une petite...
Axel dans la jungle avec son Papa
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Non non ceci n'est pas fait pour passer à Vidéo Gag, c'est juste pour vous montrer le petit Axel autrement qu'en photo, bref en direct. Alors voilà, ca c'était hier, le 31 Mai 2008, dans sa petite jungle...
Voilà avec quoi les maisons indiennes sont decorées pour Diwali, fête des lumières et dernier festival en date en Inde, lors duquel la déesse Lakshmi a été vénérée... et juste après lequel on a aussi célèbré le nouvel an hindou.
Je ne peux ici vous restituer que quelques images, et non le son, dommage, les pétards et les feux d'artifice vous auraient sans doute bien plu, particulièrement ceux de 5 heures du matin et 23 heures, visiblement les heures les plus propices et bénéfiques à ceux qui les font exploser...
Dommage pour nous!
Après le festival de Ganesh ou Ganesha ou Ganpatti en Septembre, dont je parle plus bas dans ce blog, est venu le temps de Dassera, ou Dusara, ou Dhussera, qui clôt 9 jours et 9 nuits de Navratri (qui veut dire "9 nuits" en sanskrit, ca tombe bien). Le festival a commencé cette année le 12 Octobre, pour se terminer par Dassera le 21 (dates calées sur le calendrier lunaire).
Mis à part le fait que cette période soit l'occasion pour le prêtre du village d'à côté de nous reveiller tous les matin à 6 heures pétantes avec de la musique (douce certes...) et des pirères, et de nous tenir éveillés jusqu'à 23:00 également avec de la musique (moins douce, tout de suite), Dassera a évidemment une signification mythologhique que je vais m'empresser de tenter de vous résumer (grossièrement).
Pendant Navratri, ce sont les 9 formes de Durga, déesse de la guerre, elle même une forme de Parvati, la femme de Shiva - il faut suivre - qui sont vénérées. Des poojas (bénédictions, célébrations) sont faites tous les jours dans les temples, dans les foyers.
Le jour de Dassera, on bénit traditionnellement tout ce qui fait vivre et particulièrement les instruments motorisés ou mécaniques de la vie de tous les jours, comme les machines à l'usine, la tondeuse dans le jardin, la mob ou la voiture...
C'est donc dans notre petite colonie que nous avons célébré tout ca, en commencant par le local des jardiniers et les outils du jardin:
Greg se fait "bénir" avant de faire lui même la pooja
le fameux cassage de coconut, sans laquelle l'Inde ne serait pas ce qu'elle est (dans la main droite de Greg)
Puis vient le temps de bénir la voiture (et le vélo):
2 ans en Inde et la coconut est cassée bien nette!!!
Bises à tout le monde!
Par un beau samedi matin ensoleillé d'Octobre, nous avons été réveillés vers 6 heures du matin par la douce mélodie de l'alarme de la voiture de notre voisin (qui sonnait déjà pour la deuxième fois cette nuit là).
Deux possibilités: soit on essaie de se rendormir, soit on applique l'adage qui veut que l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt (et non ceux qui ont le véto). Comme nous sommes jeunes et plein d'avenir, nous nous sommes levés tôt.
Pour partir en balade, à la fraîche. Direction le nord de Nashik, à 7km du centre, vers une colline nommée Masrul, surplombée par un temple jaïna, le Shri Ganjpatha Tirth.
Et d'abord le jaïnisme, c'est quoi? Une religion donc, fondée par un contemporain de Bouddha, Mahavira. Je cite le Lonely Planet: "Les jaïnas pensent que seule une âme totalement pure peut atteindre la délivrance (...) Pour purifier son âme, il convient de suivre diverses pratiques ascétiques (jeûne, méditation, retraite dans un lieu isolé) ...".
Ce que j'ai compris en gros du jaïnisme jusqu'ici: prôner la non-violence, ne pas troubler une vie sous quelque forme que ce soit sur cette terre. La manifestation la plus évidente étant que les jaïnas sont végétaliens (ni viande, ni poisson, ni oeufs) évidemment, mais ne mangent aucun légume racine (patates, carottes...) non plus, par exemple.
La philosophie va sans doute bien plus loin... mais je n'ai pas étudié cette religion plus en détail.
Bref voilà donc quelques images de ce que nous avons vu, de loin: photos interdites à l'intérieur. Le temple se trouve en haut d'une petite montagne. On l'atteint en montant des marches en dur.
Vue sur la campagne environnante
Les fameuses marches
... et nous... avec un petit bidou de presque 7 mois, pour ceux qui peuvent le voir
Nasik dans la brume du matin
Et oui on ne s'ennuie jamais ici, même en ne travaillant pas.
Cette fois c'est la machine à laver qui nous fait des misères. Il semblerait que, suite au remplacement d'une pièce par un technicien (indien bien sûr, ne voyez aucune perfidie de ma part dans cette précision, mais ca vaut le coup d'être mentionné) visiblement agréé, l'eau n'ait pas coulé dans la machine lors du dernier cycle, la machine a chauffé, une pièce a brûlé, et voilà ce que ca donne maintenant:
La pièce qui a brûlé:
La machine après l'évènement:
Le dessous du couvercle de la machine:
Les indicateurs de programme et de température pas très très lisibles...:
Conclusion du technicien venu constater les dégâts: on va vous changer la pièce, and no problem! Et un petit échange, puisqu'elle est encore sous garantie, mmmm?
Le titre de cet article paraîtra des plus suspects à ceux pour qui la géographie Indienne n'a pas de secrets: "de Mumbai à Goa via Trivandrum et Hampi", ca revient à peu près à "de Lille à Paris en passant par Clermont-Ferrand et Marseille". Mais pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Ne cherchez pas à comprendre, nous sommes en Inde.
Les voyages formant la jeunesse, étant à l'étranger et jeunes et presque libres de nos mouvements (sisi), nous nous sommes armés de nos plus jolis sacs à dos, de nos soeurs préférées, et sommes partis à la conquète du Sud de l'Inde, le Kerala, le Karnataka... et pourquoi pas Goa alors?
Notre voyage a donc commencé à Mumbai le 17 Mars, où Emmanuelle et Cécile (je ne les présente plus) nous ont rejoints de France. Après une journée de découverte sous un soleil de plomb de la Mumbai victorienne de Churchate Gate et Fort Area (tous à vos guides!) (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/119_Mumbai_Mar_07/), lors de laquelle nous avons déjeuné dans un restaurant perse excellent, le Britanni and Co, nous avons pris un avion pour Trivandrum, ou Thiruvananthapuram (à vos souhaits), l'une des villes les plus au sud de l'Inde équipée d'un aéroport digne de ce nom, dans l'état du Kerala.
Arrivés là-bas, nous avons sauté dans un taxi fou (ils le sont tous ici) pour Kovalam, à 20 minutes au sud, dont j'appréhendais le côté Costa Brava, plage défigurée, pseudo babs sur le retour, et menus des restos en allemand et en yiddish. Finalement c'était moins grave que prévu (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/120_Kovalam/). Accueillis en pleine nuit par un concierge doté d'une barbe dont la longueur n'avait d'égale que celle de ses cheveux en dreadlocks et qui dormait à la belle étoile sur le toit de l'hôtel, nous nous sommes réveillés le lendemain matin (non sans avoir vaillemment combattu les moustiques et la chaleur pendant la nuit) au bord de l'eau et avons assisté à une partie de pêche locale assez impressionnante, avec une trentaine d'hommes ramenant sur les rochers un filet qui avait été mis à l'eau toute la nuit.
Après un non farniente sur la plage (il faisait vraiment trop chaud, et puis à 4 sous un parasol...), nous nous sommes baignés dans des vagues dignes de Mimizan, c'est à dire pas très longtemps, quelques unes d'entre nous ayant perdu le haut du maillot pour le plus grand plaisir des autres touristes, no comment. La journée s'est poursuivie avec un repas poissons-crustacés avec vue sur la mer, puis balade dans le coin et tentative d'arnaque de la part de Rickshaw drivers. Souvenons-nous également de la seconde tentative d'arnaque de la journée, lors de laquelle on a voulu nous faire dîner quasiment dans les toilettes d'un resto qui avait pourtant l'air pas mal de dehors...
Le lendemain (très) tôt, nous avons pris un taxi un peu moins fou qui nous a amené à Kanyakumari (ou Cap Comorin), la pointe de l'extrême sud du pays (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/121_Kanyakumari/). Magnifique paysage vert et un peu montagneux tout le long de la route. Kanyakumari est un lieu de culte hindou très fréquenté, avec le temple Kumari Amman, dont nous avons fait une visite éclair mythique, guidée par un petit vieux bien gentil mais bien pressé de récupérer son pourboire aussi, et dois-je le préciser, avec autant de dents qu'un bébé de 3 mois - faites le compte. On trouve là-bas également la statue de Vivekananda sur un ilôt, accessible en ferry, ce monsieur ayant été un philosophe indien venu méditer dans les parages en 1892, merci le Lonely. On nous y a aussi raconté la légende de la rencontre de Shiva et Parvati, ou l'attente de la seconde par le premier, je ne me souviens plus très bien, mais c'est en tous cas une histoire qu'on nous a ressortie ailleurs pendant ce voyage, d'où les doutes que je me permets d'émettre sur cette légende... Là-dessus départ pour Trivandrum, ca nous en a fait des km ce jour-là.
Trivandrum n'est pas le highlight de ces 2 semaines, mais je soulignerai tout de même l'étape du Indian Coffee House, un café dans une tour en colimacon, sans escalier mais avec une rampe qui monte en guise de couloir, avec les tables alignées en montant (ou en descendant, c'est selon), en pente donc. Un peu dur à s'imaginer avec ces explications, mes comagnons de voyage me feront peut être l'honneur d'un commentaire à l'issue de cet article? (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/122_Trivandrum/)
Après une journée de visites de temples et autres musées moyennement intéressants, nous prenons cette fois le train pour Varkala, autre ancien havre de paix pour hippies dans les années 70, devenu aujourd'hui un repère à touristes et stands kashmiris (qui nous vendraient tout et n'importe quoi), il faut le dire, mais qui a su garder un certain charme, notamment grâce au fait que les hôtels, restos, bars, magasins, ... sont placés en haut d'une falaise qui surplombe l'océan et qu'il faut descendre le long de cette falaise pour atteindre la plage en contrebas. A part prendre le soleil et manger nous n'avons pas fait grand chose à Varkala, mais notre soirée a été illuminée par un serveur typé tibétain coiffé d'un bonnet à la Bob Marley, plus occupé à se cacher derrière notre table pour s'allumer un joint qu'à nous conseiller sur les plats à choisir oui même à nous servir... (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/123_Varkala/)
Le mot d'ordre des 2 jours suivants: inactivité. Le moment tant attendu de la croisière sur les Backwaters (espèces de marais géants dans les terres, reliés à l'océan) était arrivé (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/124_Backwaters/). Le principe: un bateau rien que pour nous 4 avec 2 petites chambres, un salon avec vue, un capitaine, un cuisinier et un homme à tout faire, et 2 jours de dérive, de Kollam à Kottayam. Outre la verdure environnante, les cocotiers, palmiers, nous avons pu apercevoir un peu de la vie dans les petits villages bordant l'eau, entre autre la fabrication de cordes avec des fibres de coco (cf photos).
Pour rejoindre le Periyar depuis Kottayam nous avons pris cette fois un bus, que nous croyions "de voyage" et s'est avéré être "local", c'est à dire rouge, sans vitres, bondé et pas cher du tout (60 roupies pour 4 heures de route et 100km, c'est à dire environ 1 euro). Le Periyar (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/125_Thekkaddy/) est un parc naturel d'observation d'animaux, situé dans les "montagnes". Changement de décor à l'arrivée, nuits fraîches, plantations de thé à perte de vue, forêts potentiellement habitées pas des animaux sauvages (notre récolte de photos a pourtant été bien maigre)... Nous nous sommes encore levés bien tôt pour enchaîner dans la même journée une balade dans la forêt et autour du grand lac local à la recherche d'animaux, visite d'une ferme aux épices sur Cardamom Hills, d'une plantation de thé, shopping, mini balade en éléphant, qui, je vais peut être vous décevoir, m'a plus foutu la trouille que plu... le tout emmenés en Rickshaw-tueur-de-dos, Emmanuelle ne me contredira pas! Notre guide était bien sympathique, armé dans la ferme aux épices de son carnet magique dans lequel il notait la traduction des termes techniques et plantes présentées dans toutes les langues possibles européennes...
Un nouveau taxi nous a emmenés le lendemain à Fort Cochin, partie de type colonial de Cochin, capitale du Kerala, jolie petite vielle devenue également très touristique mais bien agréable pour qui veut sortir de l'ambiance typique indienne pour quelques temps (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/126_Fort_Cochin/). Les "antiquaires" ne manquent pas, et sourtout ne manquent pas de vous vendre des articles pour 10 fois leur valeur, il parait que ca fait partie du jeu. L'une des plus belles choses que nous ayons vue là-bas est sans doutes le spectacle de Katakali, mélange local de danse et de théâtre, qui commence par 1 heure de maquillage des 2 ou 3 acteurs, se poursuit avec 20 minutes d'introduction à l'art: on nous explique que les acteurs ne parlent pas mais s'expriment uniquement pas des gestes et mimiques (peur, joie, tendresse, colères...), sur fond de musique traduisant l'ambiance, produite par 2 musiciens en fond de scène. Enfin, une histoire nous est contée. Un moment vraiment génial!
La suite du périple nous emmène à Mysore(http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/127_Mysore/), dans l'état du Karnataka, via Bangalore (Cochin-Bangalore: une heure d'avion le soir puis Bangalore-Mysore 3 heures de train tôt le lendemain matin). Son palais réellement majestueux et son marché ont bien occupé notre journée. Pas de photos de l'intérieur du palais, elles étaient interdites. Retour à Bangalore le jour même en train, puis train de nuit le jour même à 22h30 pour Hospet, vers le nord. Nous n'étions pas les seuls à attendre le train, divers rats et autres cafards étant eux aussi au rendez-vous. C'aurait pu être un voyage sans bobos si la jambe droite de Cécile n'avait pas eu l'idée de glisser entre le train et le quai (avec 15-20 kilos sur le dos) au moment de la montée... Panique à bord, mais notre petite pharmacie a fait son office, et un passage chez le médecin le lendemain matin nous a rassurés. Petite frayeur quand même!!
Hospet est donc la gare d'accès à Hampi, haut lieu de l'ancien empire Vijaynagar (XIVème siècle), qui consiste en une grande ville dont il reste aujourd'hui des ruines magnifiques (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/128_Hampi/). Hampi a évidemment un temple hindou imposant en activité en plein Hampi Market, mais aussi différents "spots", des statues de divinités, palais du roi et de la reine, petits temples hindous, jainistes, étables à éléphants... La population vit partiellement dans des bâtiments d'origine, sur Hampi Market, plutôt étonnant. Le paysage de collines environnant, ocre et très sec lors de notre passage ajoute au charme des ruines dispersées. Imaginez le coucher de soleil!
C'est sans doute l'un des plus beaux endroits que nous ayons visité en Inde, avec Mahabalipuram et l'Himalaya. Même s'il est difficile d'accès... L'endroit était relativement vide de touristes quand nous y étions, il faisait chaud mais supportable.
Nos 2 semaines touchant à leur fin, nous avons encore fait un petit saut à Goa (4ème fois pour moi), cependant non sans avoir attendu 2 heures et demi notre train en gare d'Hospet, puis avoir passé envrion 12 heures dans le train au lieu des 8 prévues (trajet prevu 6:00-14:00, en fait 8:30-20:00), sympa! Fatigués de ne pas arriver à destination (Vasco da Gama, la plus grand gare de Goa), nous sommes sortis en catastrophe à Margao (belle performance de l'équipe à cette occasion, nous avons déguerpi en exactement 1 minute 30 sans rien oublier dans le train), également dans l'état de Goa, pour aller nous poser sur la plage de Benaulim. Que dire de Goa (http://fotoalbum.web.de/gast/Cam_in_india/129_Goa/), plage, mer, soleil et crustacés... et mini marée noire qui nous a valu les pieds et/ou chaussures pollués par le mazout lors du retour sur la plage d'un resto un soir...
Voilà! Après Goa, re-Mumbai, avion vers la France pour les filles et train pour Nashik pour nous.
Et je ne manque pas de féliciter ceux d'entre vous qui sont arrivés au bout de ce récit!
Toute bonne chose ayant une fin (pour le début voir les articles de ces derniers jours), le festival de Ganesh s'est terminé mardi dernier, jour béni pour nous également bien que non hindous, puisque c'était l'occasion d'un jour férié et donc de repos pour Greg.
Nous sommes donc allés sur les bords de la rivière Godavari (à Someshwar, voir "C'est pas le Niagara...") pour voir les hindous mettre leur Ganesh à l'eau. L'animation commence sur le chemin: les gens font la fête dans la rue en transportant Ganesh à la rivière. Les plus délurés/croyants (?) se couvrent mutuellement de poudre rose et dansent derrière le char transportant leur statue sur fond de musique indienne criarde et pas toujours très mélodieuse!
Les plus sages se contentent d'accompagner Ganesh sur le chemin, ou de l'amener par leurs propres moyens, voire par le moyen le plus populaire en inde, j'ai nommé la pétrolette.
Arrivés sur place et une fois sortis de la voiture, on se croirait un jour de braderie à Lille. Nous nous faisons alpaguer par des gens, qui, on le comprend au bout d'un petit moment, crient "Ganpatti Wapa", et nous sommes censés répondre quelque chose comme "Mauria" (ou gloria, mais je penche plus pour la première version). Les rires fusent quand ils entendent des "goris" leur répondre ce qu'ils veulent entendre. Très fiers de leur pays et de leur culture, les indien apprécient tout signe d'intégration, si petit soit-il. Ils serrent la main à Greg et Olivier, l'un d'eux embrasse même ce dernier... Sur les bords du chemin, les baraques à frites locales sont de petits stands à mais grillé.
La foule est rassemblée au bord de la rivière: les hommes font leur office, bénissent une dernières fois Ganesh...
...et le mettent à l'eau.
Et que se passe-t-il avec les Ganeshs immergés, ensuite??? Suite au prochain épisode, il faut que je me renseigne!